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L’intelligence artificielle : progrès ou régression ?

Depuis quelques années, l’intelligence artificielle (IA) s’immisce dans nos vies professionnelles, redéfinissant les contours du travail, de l’emploi et de l’environnement. Mais à quel prix ?

En tant que salarié(e)s, devons-nous céder nos savoir-faire et nos expériences à des machines ? L’IA promet des gains de productivité, mais elle menace aussi de transformer nos métiers en tâches répétitives déshumanisées, voire d’en faire disparaître certains. Voulons-nous réellement une taylorisation des « cols blancs » ?

Au-delà des impacts sur l’emploi, l’IA pose une question majeure : celle de son coût environnemental. Les processus massifs de traitement des données exigent une consommation énergétique colossale, un poids lourd pour une planète déjà sous pression.

Nous devons collectivement interroger le sens et les implications de cette révolution technologique. Comment garantir que l’IA reste un outil au service des salarié(e)s et non l’inverse ? Quelles régulations instaurer pour protéger nos emplois et l’environnement ?

La CFDT appelle à un dialogue social renforcé autour de l’IA : pour que chaque innovation s’accompagne d’une réflexion sur les droits des salariés, leurs conditions de travail et la préservation de notre planète. Ensemble, débattons et agissons pour un avenir où l’humain reste au cœur du travail.

LE BILLET D’HUMEUR DE
CHRISTINE LHOMME

À quand le bien-être au travail au sein de la CE IDF

Alors que la CEIDF dispose d’un parc de 400 agences hétérogènes en termes de typologie :

  • Agences Collaboratives
  • Agences HD like
  • Agences HD
  • Agences ancien concepts NCA
  • Agences Accueil partagées

Saviez-vous que la CFDT est la seule Organisation Syndicale Réformiste à s’opposer systématiquement aux fermetures/regroupements d’agences qui entrainent en cascade des destructions d’emplois, de cadres managers, de cadres et de non-cadres notamment dans les agences collaboratives.

Saviez-vous que la CFDT est la première Organisation Syndicale à avoir demandé à la Direction de procéder à une évaluation de la charge de travail en se faisant accompagner par l’Agence Régionale de l’Amélioration des Conditions de Travail l’ARACT ? Cela nécessite au préalable d’établir un cahier des charges précis. Certaines OS ont voulu s’en octroyer la paternité par un passage en force qui n’a pas abouti à rien. C’est bien la CFDT CEIDF qui en est à l’initiative et qui continue ses demandes.

Qu’à cela ne tienne : Il est démontré par toutes les études relatives à la qualité de vie au travail qu’elles débutent par l’évaluation de la charge de travail de tous les salarié(e)s.

Les entreprises qui ont engagé des actions envers le bien-être de leurs salariés ont constaté une baisse de l’absentéisme, une augmentation de la fidélité des salariés, une baisse du turn-over et une augmentation de la performance économique de l’entreprise.

Alors que l’absentéisme, le turn-over, la formation des jeunes entrants, le sous-effectif représentent des coûts considérables chaque année pour la CEIDF, pourquoi la Direction campe-t-elle sur des positions dogmatiques alors que l’attractivité des banques en général est en déclin sur le territoire d’île de France ?

Pour la CFDT CEIDF, il est préoccupant de constater se manque d’attractivité alors même que l’absentéisme, le Turnover, le manque d’effectifs sont importants et fréquents notamment dans le réseau CEIDF. Il manque 250 salariés afin d’assurer la gestion des portefeuilles clients vacants.

Parce la CFDT CEIDF perçoit une prise de conscience de la Direction sur le sujet.

Parce que la CFDT CEIDF perçoit le manque d’ambition de la Direction sur le sujet.

La CFDT CEIDF ambitionne de faire avancer le sujet de l’évaluation de la charge de travail par un accompagnement et des préconisations dont les partenaires sociaux sortiraient gagnants.